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Hello Guys. I am watching you, and i want to play. Welcome to Grimsby.
 
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 > Cicely Jeckyll

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MessageSujet: > Cicely Jeckyll   > Cicely Jeckyll EmptyMer 28 Mai - 22:28

> Cicely Jeckyll Sanstitrexs0


Partie 1 ||
Nom : Jeckyll
Prénom(s) : Cicely Anne
Date de naissance : 14 Novembre 1990
Lieu de naissance :
Nationalité : Anglaise
Noms des parents : Mary-Lynn, Benjamin
Noms des frères et soeurs : Eliott
Situation familial :
- Père décédé, mère remariée avec un Jeckyll
- Demi-sœur d’Eliott Jeckyll
Troubles et Informations particulières .

(au début)
- Auto-mutilation qui n’en est pas vraiment.
- L’éducation de sa mère, qui lui a laissé de cuisantes « traces »
- Son aversion pour les signes d’affection.

(en rp)
- A contribué à la fuite de Natacha et Achille, deux magnifiques chevaux de l’établissement, qui heureusement ont fini par rentrer. Le personnel a longtemps chercher le coupable (les coupables) et ne désespère pas que quelqu’un vienne un jour servir leur identité sur un plateau.
- A fait le mur le dernier jour avant les vacances de Noël pour aller au Coast Museum tout un après-midi.
- Elle a trafiqué le synthétiseur de Johannes sous la demande de Duty.

Partie 2 || Entretient Psychologique (Extrait)

- Parlez-moi de vous ? Quel genre de personne êtes-vous ?
"Eh bien je… je suis quelqu’un de très… compliqué. […] Il y a une telle différence entre la fille que les autres voient et ce que je suis. On me fait confiance si facilement… il n’y a que les gens plus intuitifs qui se doutent de quelque chose. […] Je ne suis pas particulièrement difficile en ce qui concerne les rapports humains. Ils ne m’approcheront pas, je ne leur donnerai pas l’occasion d’être vraiment proche. […] Je ne mange pas de carottes. […] J’ai la mauvaise habitude de ne pas pouvoir pardonner un affront. Oui, je suis affreusement rancunière. A vrai dire, je ne me sens apaisé qu’une fois vengée. […] C’est vrai quoi, se laisser marcher sur les pieds ça donne des ulcères. […] J’éprouve toujours beaucoup de satisfaction à me conformer à l’image qu’on a de moi. Je peux être n’importe qui. Et je suis tout autant ravie lorsque je les déçois. […] Non, je ne suis effectivement pas fréquentable. Rassurez-vous, on éprouve rarement l’envie irrésistible de parasiter ma vie."

- Qui est votre modèle ?
"Pardon ? Pourquoi un qui ? Personne ne m’inspirerait assez de respect pour ça. […] Non, pas mes parents. Mon père est mort. […] Ma mère n’est pas plus digne d’admiration. […] Non je veux dire… vous avez raison. C’est une femme très distinguée, à qui beaucoup trouvent une valeur rare. Elle a réussi dans sa vie, sur tous les plans. J’imagine qu’il serait logique de l’admirer. […] C’est ça, oui, je ne souhaite pas être elle. J’ai peur de lui ressembler déjà, pourtant. […] Vous avez saisi ; ma mère est un monstre latent qu’il fait bon ne pas agacer".

- Votre plus grande force et votre plus grande faiblesse ?
"Ma plus grande force ? Hm… personne n’a connaissance de la moindre de mes faiblesses."

- Vous devez manger un des produits suivants pour le reste de votre vie – lequel ? (Des gâteaux ? Du fromage et des crackers ? Un bon repas mexicain ? Du sushi ? Beurre de cacahuète et confiture ?)
"Facile, des gâteaux. Si j’avais la certitude que personne ne viendrait me taper sur les doigts, j’en mangerais jusqu’à la fin de mes jours. Il n’y a rien de plus diablement délicieux qu’un gâteau."

- Parlez-nous de cette image, que voyez-vous ? ( Raconter une anecdote sur votre personnage)
Spoiler:

"Des lapins. […] Mais si, deux lapins qui dansent, vous ne voyez pas ? […] Oh, vous vous attendiez à quelque chose de plus morbide c’est ça. Eh bien, je peux vous dire que ce sont les cadavres de deux lapins qui dansent. C’est mieux ? […] Oh oui j’ai eut un lapin une fois. Il s’est enfui. Ou il est mort, je sais plus. Ma mère trouvait qu’il perdait trop de poils, elle l’a peut-être tué. […] Elle déteste vraiment les choses sales, vous savez. Je pense que Monsieur Tournenrond est très heureux là où il est maintenant. […] Maintenant que j’y pense, il me semble que ma mère m’avait dis qu’il avait été engagé dans un cirque itinérant et qu’il y jouait le rôle du lapin-chapeau. […] Je crois qu’elle s’est foutu de moi."

- Le mot de la fin. Prenez cette feuille et cette pochette de crayons et représentez votre état d'humeur du moment.

> Cicely Jeckyll Sanstitrefo8

Euh désolé... je ne sais pas exactement ce que vous vouliez que je fasse.




Première partie de jeu : HARPER


Nature des relations avec les autres élèves ..

  • Eliott Jeckyll : Son demi-frère, compagnon d’armes et de plans machiavéliques. Seul être qu’elle estime et qui a gagné depuis longtemps son admiration. Ceci étant dit, depuis un certain épisode à cause d’un certain Johannes, leurs rapports ne sont plus aussi parfaits qu’avant. D’accord, ils ne s’adressent plus la parole.
  • Johannes Andersen : Un type qui s’est entiché d’elle. Au début, l’histoire aurait dû en rester là, mais le voilà qui s’est entêté dans ses sentiments avec la ferme intention qu’ils deviennent réciproques. Elle voulait au départ l’utiliser pour se réconcilier avec Eliott, puis décide de le repousser définitivement dans un excés de... compassion ? Quelque chose comme ça.
  • Lily Addington : Une de ses colocataires, à qui elle n’a jamais vraiment adressé la parole, jusqu’à un soir sur un des toits de l’école.
  • Mathias McLoewen : L’a vaguement croisé pendant le voyage à Liverpool. A espéré un moment qu’il soit divertissant puis est retombée dans son mutisme, déçue.
  • Cyclamen Kapaldi : Son autre colocataire. Elle ne lui a jamais adressé la parole et il semblerait qu’un accord tacite leur permette de ne se croiser que rarement dans la chambre.
  • Coralee Moore : Cicely est persuadée qu'elle court après son frère, et cette observation a suffit pour que la rivalité entre les deux jeunes filles se transforme en mépris réciproque. Deux rivales qui jouent sur le même terrain du sadisme, en somme, et qu'il vaut mieux éviter de laisser dans la même pièce.


Lien RP :

Rp en cours > (vous ajouter le lien)
  • - Teinture et coupe gratuites… : Suite de Breakfast Club. Les missions respectives de Cicely et Coralee continuent. Elles descendant dans la buanderie de l’école et lancent une machine contenant des uniformes et de la peinture. Cicely avoue alors avoir photographié régulièrement leur petite escapade, et il est facile de savoir ce qu’elle fera des clichés. L’ampoule de la pièce rend l’âme.
    - Sans titre : Bibliothèque, en soirée. Sujet avec Eliott. Ou comment, une provocation en entraînant une autre, les retrouvailles se transforment en duel au ciseaux.
    - Ce qui s’éternise : Dernier jour de cours avant les vacances de Noël. Elle fait le mur pour aller jusqu’à Holyhead, puis son Coast Museum. Là-bas, elle rencontre Johannes qui a eut la même idée. (sujet avec poissons en PNJs)
    - Disarm you with a smile : Sujet avec Lily, sur les toits. Après avoir essayé de renouer avec son frère (tentative s’étant soldé par un cuisant échec), elle va sur les toits qu’elle sait désert. Lily y monte peu après, l’ayant vaguement suivit, et une conversation en pointillé s’engage plus ou moins.


Rp terminés
  • - It’s not easy : Première rencontre avec Johannes dans les écuries du pensionnat. A une gueule de bois faramineuse, plus de fringues, et aucune envie de faire copain-copain avec qui que ce soit. Deux chevaux s’échapperont par leur faut et ils devront partir crapahuter dans la forêt pour les ramener. L’histoire contient pourtant un court épisode dans une grotte, pendant un orage, suivit d’un retour dans le pensionnat où il leur faudra faire profil bas.
    - Harper vs King Henry IV : Le match de foot de l’école où elle s’est retrouvée sans trop savoir comment. Ils ont perdus en beauté, inutile d’en dire plus.
    - Juste une mauvaise journée : Rencontre avec Ayers Edwin, utile étant donné qu’il avait son petit commerce de drogue dans l’établissement.
    - Across the Universe : Moment apocalyptique. Sujet avec Eliott d’abord puis Johannes entre dans la danse et les choses se corsent. Après une première dispute dont les effets ne durent pas, les deux frangins se disputent plus ou moins et Eliott fait une sortie théâtrale. Ils ne se reparleront plus.
    - Nice to meet you... again : Re-sujet avec Johannes. Pendant la fête organisée après le match de foot (qu’ils ont perdu rappelons-le), ils se croisent. Johannes doit jouer devant la plèbe Harperienne de son synthétiseur… qui a été trafiqué. Par Cicely. Johannes s’en sachant rien ne vivra qu’un intense moment de honte.
    - Trigo, je t’aime : Départ de Harper pour un voyage à Liverpool de deux heures, en bus. Elle sera assise à côté de Johannes pendant toute la durée du trajet et leur discussion ne sera pas sans éveiller quelques petites choses bizarres.
    - Breakfast Club : Mission Duty. Sujet avec Coralee. Alors que Cicely est en colle pour une question de jupe trop courte, Coralee débarque et l’entraîne dans sa propre mission Duty, à savoir colorer tous les uniformes d’Harper avec de la vieille peinture. Direction la buanderie de l’école… [sujet en deux parties]
    - Sans appétit : [sujet jamais terminé] Se passe en soirée pendant le voyage à Liverpool. Au moment du repas Cicely s’éloigne et va fureter du côté d’une vieille piscine. Mathias vient la déranger, la prends en photo, rien là dedans n’étant du goût de la cadette caractérielle.
    - Uh… Shopping ? : Toujours pendant le voyage à Liverpool. Dans la journée, pendant un quartier libre, elle croise Johannes. Après s’être baladé dans la ville, ils croisent une ancienne connaissance de Johannes qui va les entraîner dans une exposition d’art. Tandis que Johannes y sera tout à fait à son aise, Cicely s’ennuiera et finira par s’éclipser, avec une petite dispute comme il se doit.





Seconde partie de jeu : CAMBRIDGE


Nature des relations avec les autres élèves ..



Lien RP :
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Aucun rp terminé.
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> Cicely Jeckyll Empty
MessageSujet: Re: > Cicely Jeckyll   > Cicely Jeckyll EmptyLun 7 Juil - 18:28

Veuillez résumer ce qui s'est passé pendant l'année qui a suivit votre départ de Harper :
Le jour de la remise des diplômes fut plus porteur de révélations en tous genres et événements surprenants qu’il n’aurait dû. Je vous passerai les détails de cette journée funeste, qui marquait à la fois la fin d’Harper et celle de sa vie en Angleterre (du moins l’avait-elle cru pendant des mois).
Suite, disais-je, aux mésaventures du dernier jour ainsi qu’aux diverses bêtises de Cicely au courant de l’année (un feu dans une buanderie tout ça… difficile à cacher), les parents Jeckyll (la mère, donc) décidèrent d’envoyer la cadette au fin fond du monde. En fait c’était en France, mais l’effet fut le même. On lui demanda avec tendresse de faire ses valises, et elle ne fit pas le moindre esclandre lorsqu’il s’agit de quitter le pays pour aller s’enfermer dans la maison poussiéreuse de sa vieille tante chrétienne pratiquante… dans les Alpes. Sa mère avait alors été très claire sur ce point : elle y resterait des années. Ses bonnes manières et le redressement de sa conscience défaillante étaient plus importants que de vagues études dans un milieu malsain. Ainsi dût-elle prendre des cours par correspondance et étudier (relativement sérieusement), plus pour passer le temps que par réelle soif de connaissance. Quelques semaines à entendre sa vieille tante citer la bible comme on récite une listes de courses, quelques mois de plus à ne connaître de la vie que ses principes les plus élémentaires, en supprimant tout ce qu’elle avait de subversif, donc de jouissif, suffirent à… ne pas la transformer du tout.
Non mais, vous croyez quoi ?
Certes, les premiers temps furent difficiles. Elle devait se montrer le plus docile et malléable possible, pour que sa tante n’envoie que de bons échos par delà la Manche. Mais surtout, elle devait continuellement faire preuve de son effrayante culpabilité. Parce que c’était mal d’avoir perdu Eliott, de lui avoir fait faire des choses qui, vraiment, ne lui ressemblaient absolument pas. Souvent, il lui était arrivé d’entendre la voix maternelle qui lui rappelait à quel point leur attitude avait été choquante, combien il avait été difficile de pouvoir les pardonner, et comment surtout ils comptaient faire en sorte que plus jamais ne cela se reproduise. Mary-Lynn était très, très en colère. Elle n’appréciait pas du tout que sa fille gagne l’étoile de la meilleure allumeuse auprès de toute l’école. De longues années de solitude en France seraient donc profitables à tous.

Les premiers temps, je disais donc, avaient été laborieux. Cependant, son éducation l’avait toujours préparé a adopter la technique de survie la plus élémentaire qui soit : s’adapter. Ainsi donc, elle s’était adaptée. Elle avait gagné le droit de veiller une heure plus tard le soir, puis deux, elle avait obtenu l’autorisation de sortir une fois par semaine, puis deux. Après quelques mois, il lui fut accorder de pouvoir librement circuler à l’extérieur la journée, à la condition d’une narration détaillée de ses pérégrinations au soir. Fort bien, elle mentait à la perfection.
Sa tante se prit même d’affection pour cette créature fragile et douce, dont les quelques mots la journée se limitaient à de faibles paroles d’excuses.
Vous vous doutez, évidemment, quels furent les véritables activités de Cicely, à cette époque. Par tous les moyens, il lui fallait s’amuser. Certes, les sources d’amusement manquant, elle ne pouvait mettre en danger la vie de beaucoup d’autres. Qu’à cela ne tienne, c’est sa propre vie qu’elle provoqua. Sa dualité devint plus facile de jour en jour, plus naturelle encore qu’avant. Elle était tout à tour la psychopathe et la parfaite nièce, jonglant entre les deux identités avec un certain plaisir sans se soucier de savoir laquelle était la bonne. Préparée à décrépir entre les murs humides de la maison, elle avait fini par accepter son sort.

Jusqu’à ce que les bons échos qu’envoyait tante Hélène (avais-je oublié de préciser son nom ?) finissent par avoir raison de l’aigreur de maman Jeckyll. Un an plus tard (11 mois, en vérité), Cicely rentrait donc en Angleterre. Elle avait développé une étonnante faculté à pouvoir pleurer sur commande, ce qui avant lui aurait été impossible, même avec tous les efforts du monde. Aucun problème donc, quant aux larmes de bonheur qui coulèrent sur son visage lorsqu’elle retrouva sa mère (laquelle cacha son étonnement devant un tel revirement de caractère). Cicely était enfin la parfaite enfant rêvée. Cet intermède français avait été des plus profitables.
Il y pourtant quelque chose de fascinant, dans son état d’esprit d’alors. De la même manière qu’un ancien alcoolique avalait d’une traite une vodka sans se poser de questions, elle venait de retrouver son ancien terrain de jeu.

Non, mieux encore, elle venait à la rencontre d’un terrain de jeu encore plus grand.


Quelles sont les relations que vous avez conservées? :
Aucune.
Johannes la déteste probablement à l’heure qu’il est. Comment pourrait-il en être autrement ? Ils ne se sont pas parlé depuis le dernier jour d’Harper. Ses rapports avec Eliott ne sont pas meilleurs. Depuis un an, ils n’ont pas eut l’occasion d’échanger le moindre signe de vie et on ne peut pas vraiment parler d’adieux déchirants non plus. Quant à Coralee Moore… eh bien, elle est toujours en très bonne position dans sa liste de vengeances prévues. Vous pouvez parier sur le fait que Moore finira chauve avant la fin de l’année.
Quelle est la confrérie dans laquelle vous vous voyez le mieux, pourquoi? : Amaryllis… pour le côté amazone, non je sais pas…
Quelles sont les valeurs que vous défendez et les choses que vous respectez? : Très drôle.

La valeur du chacun pour soi, la loi du plus fort.
La fuite de l’ennui.
Êtes vous pour où contre Duty? : Pour, milles fois pour, pour forever.
Qu'étudiez vous à Trinité? (deux matières une majeure et une mineure)
Littérature Anglaise en majeure, Philosophie en mineure.
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