Doris Milano

Identité :

Prénom(s) et nom : Doris Milano

Date de naissance, Age : 8 Novembre 1988, 19 Ans

Sexe : Feminin

Établissement : Pourquoi se trouve t-il à Cambridge ? Doris est dans cette université pour plusieurs raisons: Tout d'abord, parce que c'est l'une des plus prestigieuse du pays et que ses parents veulent ce qu'il y a de mieux pour elle. Ensuite, parce qu'il y a les options qu'elle désire étudier. Et enfin, tous ses 'amis' du lycée (c'est à dire peu de personne en fait) se sont inscrits à Cambridge. C'est donc de bonnes raisons pour venir ici à son tour...

Et sinon, vous, ça va?

Physique :

Doris est dans l’ensemble plutôt petite pour son âge. Elle fut d’ailleurs complexée par sa taille lors de sa scolarité, des années auparavant. A présent, ce n’est plus un problème aussi important que ça, sa personnalité lui permettant de prendre le dessus et de ne pas se laisser aller à des détails aussi futile. Elle sait, au fond, qu’elle a d’autres qualités physiques. Des cheveux longs, bruns, des yeux de couleur pour le moins spécial : un mélange de vert, de gris et de bleu. Pupilles qui changent suivant son humeur, permettant à ses interlocuteurs de se mettre au courant et d’éviter des prises de bec futiles. D’autant que la jeune fille est du genre mystérieuse, voir imprévisible. C’est donc un allié plutôt utile pour ses vis-à-vis. Sa peau est pâle, ses traits fins. Elle a comme qui dirait un physique de poupée en porcelaine, et elle en joue. Sous ses airs angéliques, on ne peut cependant pas la prendre pour une sainte, bien au contraire. Le jeune fille est vraiment ‘décalée’ par rapport aux autres. Cela se voit sur son visage qui arbore sans cesse une expression lointaine, voir ennuyée. C’est une jeune femme excentrique, ce qui se ressent à travers son look, qu’elle change sans arrêt. Elle a tout de la petite poupée et son style vestimentaire est largement inspiré de la japanisation, qu'elle adore.

Caractère

Doris est une jeune femme filiforme, et discrète. Elle est de ceux qui ne parlent que rarement, et seulement lorsqu’ils ont quelque chose d’intéressant à dire. Elle n’est pas muette, loin de là, mais elle juge juste qu’il vaut mieux ne pas parler à tord et à travers si cela ne peut rien apporter de bon. Beaucoup la trouve tête en l’air, dans son monde. C’est le cas, elle a souvent la tête dans les nuages, perdu dans des pensées qu’elle seule peut connaître. Ce côté mystérieux, voir inquiétant, font d’elle une personne peu approchée ou appréciée par son entourage. Bien qu’elle semble ne jamais prêter attention à ce qu’on lui dit, elle est beaucoup plus à l’écoute et maligne qu’elle n’y paraît. Doris a une excellente mémoire, visuelle et auditive, et met ces capacités à son propre service. Elle est donc capable de vous ressortir beaucoup plus tard un sujet qu'elle n'avait pourtant pas eu l'air d'écouter. Du moins, si elle daigne vous adresser la parole. En effet, la jeune femme se méfie des gens, et n'accorde que très rarement sa confiance. Pourquoi ? Bonne question. Traumatisme de jeunesse, éducation sévère, qui sait. En réalité, elle est surtout exigeante, autant avec elle même, qu’avec les autres, d’où cette indifférence vis-à-vis d’autrui, qui le lui rend bien. Il faut vraiment que vous lui tapiez dans l’œil ou que vous soyez aussi ‘étrange et décollé’ qu’elle même pour attirer véritablement son attention. Ce qui fait qu’elle a très peu d’amis. Mais mieux vaut être seule que mal accompagné, n’est-ce pas ? De toute manière, la plupart du temps, les autres ne se rendent pas compte de sa présence. Du reste, lorsque c’est le cas, on la trouve trop excentrique et bizarre. Toutefois, derrière sa ‘timidité’ apparente, sa discrétion, et son innocence se cache un désir presque malsain d’observer les gens. Depuis des années, la jeune fille aime à espionner ses voisins, découvrir divers potins et être au courant de tout. Elle ne se déplace d’ailleurs jamais sans caméra, qu’elle a eu à l’âge de 12 ans, et passe des heures et des heures à filmer ceux qui l’entoure. Et même ceux qu’elle ne connaît pas. Est-ce une sorte de carapace derrière laquelle elle se cache ? Ou est-elle trop sadique et curieuse pour se contenter des apparences ? Quoiqu’il en soit, elle tient un journal où elle raconte les moindres faits et gestes de ses proches, et de ses camarades de classe. Journal qu’elle prend soin de cacher, qui sait ce qu’on pourrait penser d’elle en le sachant. Enfin, Doris est tout de même du genre à faire la fête, autre facette de sa personnalité qui détonne avec son apparence d’innocence. Elle possède un petit coté élitiste qui veux qu'elle ne parle qu'à ses potes, que des garçons, car la jeunette trouve les filles beaucoup trop clichés à son gout.


Intéressant… Et le passé dans tout ça?


Origine / Nationalité : Doris a des origines italiennes très lointaines. Sa famille reste assez influencée par elles, mais pour sa part, c’est de la foutaise. Si elle avait eu le choix, elle se serait reconvertie, aurait niée sa famille, ou aurait utilisé la chirurgie esthétique pour ressembler le plus possible à ces asiatiques qu’elle admire plus que tout au monde. Elle parle d’ailleurs un peu le japonais, ayant appris les bases de cette langue par ses propres moyens.


Situation familiale

Doris est la cadette d’une riche famille italienne, plutôt prestigieuse, et qui s’est installée à Londres à la fin du siècle dernier. Ses parents sont à la tête d’une entreprise de cosmétique et l’ainé de la famille, Milo, est en train de suivre la même voie, de manière à prendre le relais lorsque Antoni, le père, décidera de prendre sa ‘retraite’. Ce dernier et sa femme Cynthia, sont les parents de Quatre Enfants. Milo, donc, l’ainé, un bellâtre imbu de lui même qui ressemble trait pour trait à son paternel. Depuis toujours il se considère comme le ‘prince’ de la famille, sachant pertinemment qu’il est l’héritier direct des Milano. Son comportement envers ses cadets est très explicite à ce niveau là : il ne se laissera pas voler la vedette de ci-tôt, et si facilement. Vient ensuite Jean et Marc, des jumeaux, plus âgés de deux ans, par rapport à Doris. Vous l’aurez compris, Doris est donc l’unique fille des enfants Milano. Bien qu’ils aient été proches avec la jeune femme durant leur enfance, tout a changé lorsque les jumeaux sont entrés en plein dans leur crise d’adolescence. Ils ont pris alors de l’écart, par rapport à elle, mais aussi au reste de la famille. L’écart s’est transformé le jour de ses 15 ans, pour devenir carrément un gouffre, lorsque Jean a tenté de la violer dans la voiture familiale, alors qu’il était venue la chercher à sa fête d’anniversaire. Cette expérience a bien entendu profondément marqué Doris, qui a alors réussi à s’enfuir. Depuis, plus rien n’est pareil, et elle a l’impression de s’éloigner émotionnellement de ses proches un peu plus chaque jour…

Rêves et ambitions pour l’avenir:

La jeune poupée de porcelaine qu’est Doris se pose beaucoup de question sur l’avenir. Elle a beau donner l’impression que rien ne la touche vraiment, elle est très inquiète, pleine de doute. Le fait qu’elle soit très exigeante avec elle même, autant qu’avec les autres, rend la tache difficile. Elle étudie à Cambridge la Psychologie, matière qu’elle adore et qu’elle trouve fascinante. Cela colle parfaitement avec sa personnalité et ses tendance à observer et juger tout le monde. Pourquoi ne pas devenir psychologue dans ce cas là ? Ou psychopathe ?! C’est bien partis en tout cas, aux yeux des autres. Bien qu’elle adore le cinéma et sa précieuse caméra, elle est certaine de ne pas s’engager dans cette voix. Ce qu’elle fait n’est pas de l’art, c’est plutôt de la curiosité, voir de la persécution, et toutes ses cassettes vidéos sont réservées à son usage personnel. Psychologue est donc la voie qu’elle suit pour le moment.

Quelle est la confrérie dans laquelle vous vous voyez le mieux, pourquoi? : Amaryllis

Quelles sont les valeurs que vous défendez et les choses que vous respectez? : Doris est en quelque sorte trés égoiste. Au fond, peu importe ce qui arrive aux autres, le plus important est que tout aille bien pour elle. Sa curiosité, et son désir malsain d'observer les gens et de tout savoir sur eux prouve son gout incontesté pour la véritée et la 'justice'. Elle même est du genre trés franche, et elle déteste l'hypocrisie.

Êtes vous pour où contre Duty? : Plutôt pour… Finalement, Duty lui ressemble plus qu’elle ne voudrait l’admettre, et au final, elle comprend ses... motivations.

Qu'étudiez vous à Trinité? (deux matières une majeure et une mineure) Doris étudie le Cinéma et la Psychologie.

Trois secrets inavouable concernant votre personnage (c'est grâce à cela que Duty va le faire chanter pour qu'il réalise les missions) :

- Doris est une adepte des pilules colorées, chose qu’elle cache bien entendu à sa famille, si désireuse des bonnes manières.
- Son Grand frère a failli abuser d'elle lorsqu'elle avait 15 ans.
- Elle a le beguin pour Nath Walton depuis qu'elle est au lycée, mais s'arrange pour que personne ne le sache.

Questions subsidiaires :


Comment avez-vous découvert ce forum. Grâce à l'Admin
Votre âge. 20 Ans
Comment trouvez vous le design. Simple mais efficace
Combien de jours par semaine pensez-vous être là. Tous les jours normalement
Célébrité sur votre avatar : Kristin Stewart
Merci de préciser si votre personnage choisi est un prédéfini ou non Oui

Spoiler:

Bienvenue !
Toute l'équipe de Duty est ravie de t'accueillir parmi nous, bonne chance pour ta fiche et très bon choix de personnage au passage

Histoire

C’est dans un pâle matin d’Hiver que Doris voit le jour. Un matin froid, brumeux, à l’étroite ressemblance de la jeune fille comme le découvriront plus tard les gens de son entourage. Bien que Doris ne mérite pas d’être traitée de personne froide. Incomprise. Ailleurs. Excentrique peut-être. A côté de la plaque aussi. Mais pas froide.

Etant la cadette de la famille Milano, Doris a toujours été pour le moins choyée par tous et par toutes. Sauf par les personnes les plus importantes pour elle. Son père étant sans arrêt absent, sa mère ayant déjà trois autres enfants sur les bras. Des garçons par dessus le marché. Bien que désirée, Doris se retrouva rapidement mise à l’écart à cause de ses différences. Et cela même avant qu’elle n’affirme son étrange caractère et qu’elle se découvre totalement. Au fond, elle était une petite fille normale. Qui découvrait le monde, qui voulait aimer, et être aimée surtout. Sa famille étant riche et prestigieuse, elle a toujours reçu ce qu’elle désirait. Sauf le plus important. Piètre consolation, elle découvrit rapidement que l’argent et les cadeaux qu’elle pouvait recevoir ne remplaçaient guère le manque d’affection qui grandissait au fond d’elle même. Lorsqu’elle était encore en école primaire, la jeune fillette ‘survivait’ en suivant les jumeaux comme leur ombre. D’abord agacés par son manège, ils finirent par la prendre sous leur ailes, amusés d’une certaine manière d’avoir un ‘disciple’ et un complice pour leur petites farces et attrapes. A l’âge de 10 ans, Doris était donc comme toutes les autres petites filles de son âge, en toute apparence.

C’est aux alentours de ses 12 ans que Doris découvrit ce magnifique monde qu’est celui des asiatiques, et en particulier des japonais. C’est en lisant son premier manga que Doris tombe amoureuse de la ‘japanisation’ et cette expérience la changera à tout jamais. Elle se glissa très rapidement dans cet univers à part, adorant ces personnages fictifs, cet humour particulier, cette violence même, propre aux mangakas. Très vite, elle en vint à souhaiter être comme ces héros, vivre les même aventures, avoir la même vie. Ayant au moins pour elle, tout l’argent nécessaire et voulu, elle vira à la fanatique extrême, collectionnant des anime, et ayant une mangathèque encore plus remplie que la bibliothèque du coin. C’était en quelque sorte son début de crise d’adolescence. Elle avait cependant conscience qu’en agissant ainsi, et qu’en aimant ce genre de chose, elle s’éloignait de ses quelques amies du collège. Ils n’avaient pas les même gouts qu’elle. Ils trouvaient cela déplacés, complètement débile même ! Pour les bébés ! Que c’la n’tienne ! Elle n’avait pas besoin des autres ! Elle avait toujours été un peu à part de toute manière…

Jour de son 15eme Anniversaire. Doris fête l’événement avec une centaine de personnes, des connaissances, plus que des amis, des amis de la famille, des relations pourrait-on dire…

FLASH BACK

Doris était assise dans un coin de la salle des fêtes que ses parents avaient loué pour l’occasion. Ces derniers avaient fait une brève apparition avant de disparaître comme ils étaient apparus. Pas d’alcool ce soir. Du moins, pas pour les enfants. Dommage, Doris aurait bien voulu piquer un peu de punch. D’après ce qu’elle savait et ce qu’elle avait vu, cette boisson faisait faire tout et n’importe quoi à n’importe qui. Et ces n’importe qui semblaient heureux… guillerets même. Elle aurait bien voulu gouter. Pour voir. Et oublier un peu la pression qui s’était emparé d’elle lorsqu’elle était arrivé à cette soirée. Etre le centre d’attention n’avait jamais été son truc. Et les regards curieux qu’on lui lançait valaient plus que les mots.

« Doris ? »

C’était Marc, l’un des jumeaux. Comment arrivait-elle à les reconnaître ? Allez savoir ! Elle était probablement la seule à faire la distinction, au grand désespoir de ses frères, toujours prêt à échanger leur place. Le regard vide, elle vit son grand frère s’approchait, le nez un peu rouge, un verre à la main. Et bien… ça promettait. Déjà ivre à 17 ans ! Le pire, c’est que personne ne leur disait rien. Doris sentit le regard agacée, voir dégoutée de Marc alors qu’il étudiait sa tenue de soirée. Elle avait mis une robe en dentelle rose et noir, coupée courte, des sortes de bas résilles, et s’était coiffés de manière pour le moins… mouvementées, ses cheveux remontées en deux couettes, et crêpés de manière artistique. C’était pour le moins original. Mais pas du gout de tout le monde.

« QU’est-ce qu’y a ? » Demandait la jeune fille, déjà à cent lieux de là.

« Y a Jean qui t’attend. Il dit que la fête a assez duré et qu’il est temps qu’on rentre. Que tu rentres. »

Doris se contenta d’hausser les épaules, avant de s’éloigner de Marc. S’il fallait rentrer, soit. Elle s’ennuyait à mourir de toute manière. Jean qui venait tout juste d’obtenir son permis de conduire était tout heureux de faire des trajets en voiture. Pourquoi le décevoir en refusant la proposition ? Elle était fatiguée en plus…

******

Il faisait déjà nuit. Il était environ une heure du matin. Pas étonnant qu’elle soit si lasse et fatiguée. Assise sur le siège conducteur, Doris avait posée sa tête contre la vitre et regardait défiler le paysage. Jean était silencieux. Il semblait étrange, préoccupé. Peut-être s’était-il fait largué par sa dernière petite amie, qui sait… Une dizaine de minutes plus tard, il se garait sur le parking en bas de chez eux. Les Milano n’avaient pas de maisons, mais ils possédaient tout le dernier étage d’un des plus riches hôtel de la ville. A ce moment là, Doris avait déjà les yeux mi-clos, à moitié endormie. C’est à peine si elle avait conscience que la voiture s’était arrêtée. Toutefois, c’est le contact d’une main froide sur elle qui la ramena brusquement sur terre. Elle ouvrit les yeux, surprise et croisa le regard de Jean, qui était alors braqué sur elle. La jeune fille de 15 ans avala difficilement sa salive alors qu’elle sentait les doigts de son grand frère glissait sur sa hanche et remonter à chaque fois un peu plus.

« Jean… qu’est-ce… qu’est-ce que tu fais ? »

Demanda t-elle, d’une petite voix, sans comprendre. Ou sans vouloir comprendre. Elle n’était pas née de la dernière pluie. Elle avait surtout trois grands frères en plein dans la fleur de l’âge. Elle connaissait ces choses là, elle savait, mais elle ne voulait surtout pas faire le rapprochement avec ce que tentait de faire le jumeau à cet instant là. Un quart de seconde passèrent et elle se retrouva écrasée par le poids de Jean qui lui avait sauté dessus. Elle avait beau se débattre, crier, le griffer, lui dire qu’il était devenu complètement fou, rien n’y faisait. Les mains de son frère étaient partout à la fois. Le visage de ce dernier restait résolument enfoui dans la gorge de la petite fille, et s’évertuait à lécher et embrasser chaque parcelle de sa peau. Doris était effrayée. Pire que ça : elle voyait sa vie défiler devant ses yeux alors que son cœur cognait rapidement et lourdement dans sa poitrine. Mais que lui arrivait-il ? Jean avait visiblement bu un peu trop de punch lui aussi.

Elle ne sut jamais vraiment comment elle s’en était tiré. Elle se souvenait juste d’avoir entendu un aboiement, puis le bruit d’une porte qu’on ouvre violement. Jean avait alors été tiré en arrière, et sans réfléchir, elle était sortie de la voiture en quatrième vitesse, pour s’enfuir dans l’immeuble de son père. Elle devrait remercier ce vieux monsieur qui promenait son chien à cette heure tardive. Et qui avait assisté à la scène. Plus jamais elle n’avait affronté le regard de Jean depuis. Pas plus que celui de Marc. Ils se ressemblaient trop…

FIN DU FLASH BACK.

Elle n’a alors jamais réussi à avouer toute la vérité à ses parents. Jean ne disait rien, faisait comme si rien n’était arrivé. S’en souvenait-il seulement ? A partir de ce moment là, Doris se coupa totalement du reste de l’univers. Elle avait raison ! Ce monde japonais était mille fois mieux que celui dans lequel elle vivait ! Au fil du temps, alors qu’elle faisait tout son possible pour passer inaperçu, naquit alors sa curiosité et son désir d’être cachée pour observer. On ne la voyait pas ? Fort bien. Elle, elle voyait tout. Et savait tout. A force, elle en venait à savoir des choses que personnes ne soupçonnaient. Elle ne cherchait même pas à les répéter, ou à les révéler. Non. Pas besoin. Cela lui suffisait à elle.

Ses années de lycées furent catastrophiques. Son nombre d’ami diminua considérablement, même si certains fidèles, perduraient. C’était le cas de Jordan Gordon, le seul qui l’ait jamais supporté ; et de Nathaniel Walton. Lui, c’était une autre histoire. Sans le vouloir, la jeune fille s’enticha rapidement de lui, sachant parfaitement, toutefois, que rien ne se ferait. Elle cache son opinion de lui, s’arrangeant pour que personne ne découvre son petit secret. Pour la première fois depuis longtemps, elle a quelque chose à cacher, et a peur qu’on ne le dévoile. D’habitude, c’était elle qui connaissait tous les non dits et les secrets. Et elle détestait se retrouver dans cette position là ! Bref, le fait est qu’elle n’avait en réalité que des amis masculins, les filles étant beaucoup trop clichés, superficielles, hypocrites, et sal*pes entre elles. Et elle n’aimait pas ça… Pas du tout même.

A présent, là voilà à la fac. Déjà ! Et alors qu’elle continue de trainer avec cette caméra qui ne l’a pas quitté depuis des années, deux mangas dans son sac, et l’oreille à l’affut, rien n’a changé. Elle est toujours Doris. L’éternelle Doris. Qui n’est plus une enfant. Qui n’est plus naïve. Et qui est bien décidé à mener sa vie comme elle l’entend, sans que personne ne vienne interférer dans ses affaires.

Bienvenue parmi nous, tu es bien évidemment validée , tu peux dès à présent t'occuper du dossier confidentiel et des autres petites modalités.

Bon jeu !