Amy Smith

(Avatar ignoble, je sais, mais c'est en attendant que le courage d'allumer Photoshop me revienne. )

Identité :

Prénom(s) et nom : Amy Pivolorova Smith
Date de naissance, Age : 2 Décembre 1989 : 19 ans.
Sexe : Féminin
Établissement : Cambridge est l'élite, pourquoi s'abaisser à d'autres écoles lorsque l'on a les moyens intellectuels et financiers?

Et sinon, vous, ça va?

Physique : (sept lignes minimum) : Si vous voulez vous faire une idée d'Amy, reprèsentez vous donc une Blanche Neige plus.. Mystérieuse, voire vicieuse. Il est impressionant comme Amy pourrait sembler avoir des tendances schyzophréniques rien qu'à la vision des traits de son visage. Elle peut se donner un air aristocratique, aimable et délicate, puis passer à un regard brulant de fureur ou encore pourrait on parfois lire dans ses yeux la perdition qu'évoquent les substances illicites dont elle ne se prive point. Ses yeux justement, de grandes perles noisettes qui surmontent un petit nez retroussé. Sa peau est de porcelaine, et ses lèvres toujours teintes de rouge imprécisèment dessinées lui donnent un charme fou; qu'elles lachent des paroles cyniques ou avalent des médicaments... Le tout est encadré par une longue cheveulure chatain et indomptable. Pas particulièrement grande comme les amazones de l'est, Amy entretient sa silhouette fine et élancée d'un mètre soixante dix, sa poitrine rebondie et ses longues jambes galbées. Côté vestimentaire, Amy ne se laisse jamais aller et tient son sens du style unique, sensuel et décalé comme marque personelle. Même avec les cheveux attachés négligemment ou un chemisier déliberemment froissé, Amy garde une classe icomparable dût à ses lointaines origines aristocratiques.
Caractère (15 lignes minimum) : Le meilleur adjectif pour qualifier Amy serait probablement insaisissable, ou imprévisible. En effet pour approcher la jeune fille sans se heurter à des échanges froids et des piques ironiques perpetuelles, mieux vaut mériter son estime dès le départ. Non pas qu'elle soit hautaine.. Bon, d'accord, on vous l'accorde: peut être un peu, mais cela revient simplement à sélectionner rigoureusement ses fréquentations. Très rigoureusement. Enfin n'allez pas pleurer chez votre mère si vous n'avez jamais réussi à provoquer ne serait ce qu'une esquisse de sourire chez Amy. De plus, vous ne serez jamais certain de ce qu'elle ressent, la communication des émotions, c'est pas tellement son truc. Ses moyens de communication sont finalements restreints à de longues discussions culturelles, vous ne pourrez l'impressioner de toute façon que par des connaissances artistiques étendues. Ainsi, elle peut rester des heures à photographier Londres dans ses coins les plus sombres, lire tous les livres possibles sur Edie Sedgwick et visiter toutes les expositions sur le New York des années soixante- soixante dix. Derrière tout ce personnage cynique et glacial, il y a néanmoins une jeune fille complètement perdue à travers elle même qui préfère s'écarter de tout le monde plutôt que se lier d'amitié et devoir un jour causer de son passé, de ce qu'elle a vécu et que le monde découvre enfin qu'elle préfèrait se foutre en l'air que de profiter de ses moyens financiers pour mener sa petite vie bourgeoise. Perpetuellement affamée, les ravages de quelques.. Problèmes, mieux vaut ne pas énerver Amy. Parce que même si elle s'est infliguée pas mal de choses, il reste au moins dans sa frêle silhouette son intelligence brillante qui lui a permis un cursus scolaire étonnant et sa sournoisie extrème. Le pire est probablement lorsque que la jeune fille se met en colère, un côté "cinglé" se réveille chez elle et mieux vaut s'en aller en vitesse. Sérieusement, énervée, Amy serait capable de meurtre ou de folie iréparable, Son impulsivité incontrolable vient s'ajouter à ce personnage mystérieux, froid et colèrique, au fond complètement fragile et paumée.

Intéressant… Et le passé dans tout ça?


Origine / Nationalité : Origines Anglaise et Russe. Naitonalité Anglaises.

Histoire Commençons par le commencement. Richard Smith, grand homme d'affaires qui commence à faire fortune en Angleterre se paye un séjour en Russie, ou dans le milieu de la glace, la vodka et les chapkas, il rencontre Natasha Pivolorova. Natasha, une pauvre fille, magnifique certes d'une beauté typée de l'est, mais dans une situation extrèmement précaire, et relativement prostituée. La belle vend donc son corps qui ferait mieux de s'offrir une "Rehab". Ce que ne va pas hésiter à faire Richard, tombé fou amoureux de la Russe, et aussi complètement soul.. Il emmène sa protégée en Angleterre ou il essaye en vain de la détacher de ses penchants à la cocaïne en lui offrant un fabuleux manoir non loin de Londres, dans la belle campagne aristocrate qui est la sienne. Puis il la met enceinte, vous aurez deviné de qui. Après une grossesse, comment dire.. Perturbée: la belle Natasha boit comme un trou et fume comme un pompier, naît la petite Amy. Malgré la richesse de son père, la beauté de sa mère, Amy est loin d'avoir une enfance enviable. Sa mère, perpetuellement sous anti depresseur n'est même pas capable de se souvenir du prénom de son enfant et une fois l'oublia par mégarde toute une nuit dans son bain. Son père, qui est désormais à la tête d'une énorme fortune collectionne les amantes et n'hésite pas de temps à autres à donner quelques légers coups à son épouse pour la calmer de ses crises de nerfs. Le contexte est aisé, aristocratique, mais terriblement malsain. Amy, un soir en rentrant de l'école, ne supportant plus ses parents qui eux même se souvenaient à peine de son existence, la pourrissant de multiples cadeaux pour ne pas l'entendre, ne rentra pas chez elle. C'était simplement un test pour constater le niveau de réaction de ses parents. Evidemment, son père était trop occupé dans un bar de prostituées et sa mère était toujours ivre morte au manoir "familial". Elle rentra finalement, décidant de cesser de s'alimenter pour tester une fois de plus leur attention à son sujet. Pas de grand souçi: sa mère gardait le frigo perpetuellement vide et y rangeait ses seringues, et son père ne rentrait plus qu'une fois par semaine avec une fille moitié devêtue dans ses bras. A ses seize ans, Amy qui ne pesait plus rien, invisible aux yeux de ses.. "Parents", découvrit un soir sa mère dans le canapé. Rappelez vous donc la fameuse scène de l'overdose dans Pulp Fiction, et ce fut ce que constata la jeune fille: sa mère dont le nez saignait à flots, les pupilles dilatées et la bouche entrouverte. Cette fois pas besoin de piqure d'adrénaline, Natasha avait bel et bien profondèment chuté à jamais. Stupéfaite, Amy ne put réagir, sa mère venait de lacher ses derniers souffles à ses propres pieds. Elle se remit un peu de mascara, enfila une veste et claqua la porte. Avec une des nombreuses cartes bancaires de son père, elle prit le train pour Londres. Evidemment elle n'y connaissait personne et n'avait évidemment prévenu personne, et sûrement pas son père: ni de son départ définitif, ni accessoirement de la mort de sa mère. Ce ne fut pas long de trouver à Londres un squat ou s'installer. Ainsi, pendant deux, elle connût la pire des déchances, s'agravant chaque jour. Elle se payait chaque jour de quoi se remplir des seringues, n'ayant même plus de conscience à combler. La jeune fille bourgeoise qu'elle était, trainait les bas quartiers Londoniens, ne dormait plus depuis longtemps, et son physique autrefois de poupée laissait place à une silhouette décharnée aux paupières violettes de fatiguées et aux bras écorchés. Inutile de s'attarder sur ces deux années de débauche et perdition digne d'un roman de Zola, vous aurez compris la situation et ses nombreux passages à l'hopital pour overdoses et autres.. Problèmes témoignant de la partie très sombre de son existence. Un soir, elle vit débarquer dans son immeuble, son propre père, énorme et exaspèrant millionaire accompagné de sa petite mafia, venu récupèrer sa fille qui risquerait de compromettre sa réputation de buisness man si l'on apprenait le destin de sa progéniture. Après lui avoir payé des cures hors de prix pour la remttre sur pieds, du moins physiquement puisque mentalement, il n'y a avait plus rien à faire, il l'envoya à Cambridge, car malgré sa déchéance, Amy avait toujours été doté d'une grande intelligence et en fin de compte, seul son cursus scolaire était brillant.
Situation familiale (parents, frères sœurs…) Mère décédée. Père existant uniquement par son argent. Enfant unique.
[i]Rêves et ambitions pour l’avenir: Se rendre à New York, ouvrir une galerie d'art, assasiner son père.
Quelle est la confrérie dans laquelle vous vous voyez le mieux, pourquoi? : Encore hésitante.
Quelles sont les valeurs que vous défendez et les choses que vous respectez? : La coke, l'art, le cynisme.
Êtes vous pour où contre Duty? : Indiffèrente.
Qu'étudiez vous à Trinité? (deux matières une majeure et une mineure) Histoire de l'art, droit et économie.
Trois secrets inavouable concernant votre personnage (c'est grâce à cela que Duty va le faire chanter pour qu'il réalise les missions) :

- Ses deux années de décheance à Londres qui ne sont censées exister pour personne.
- Sa perpetuelle addiction aux substances illicites qui devrait avoir cessée depuis ses nombreuses cures, très nombreuses et très couteuses cures.
- Sa mère décédée dans un contexte peu appréciable pour la bourgeoisie Anglaise et son père dont les affaires sont terriblement illégales.

Questions subsidiaires :


Comment avez-vous découvert ce forum. Par Nathaniel Walton
Votre âge. 15 ans.
Comment trouvez vous le design. Appréciable :)
Combien de jours par semaine pensez-vous être là. Un jour sur deux, environ.
Célébrité sur votre avatar : Leighton Meester
Merci de préciser si votre personnage choisi est un prédéfini ou non Personnage non prédéfini.

Hey Baby Smith ! Bienvenue dans la place.
T'as vu c'est noël ? J'espère pour moi que t'es un cadeau, mais vu ce que je viens d'entendre à propos de toi et ton caractère hautement louche, je crois que "cadeau" ne serait pas le mot aproprié à la situation.
Hâte de te voir dans le jeu baby smith. Bonne continuation pour ta fiche.

Duty is Watching You and I want to play

Bienvenue Amy

Bonne chance pour la suite de ta fiche, et saches que si tu as encore un doute sur la confrérie à rejoindre, il me semble que le plus noble des choix serait celle des Amaryllis. Nous t'attendons prochainement parmi nous, si le cœur t'en dis jeune fleur.

Oh et tu sais, ton avatar n'est pas si ignoble que tu veilles bien le prétendre

Bienvenue parmi nous, chère Amy, en espérant que notre très chère université parvienne à te mener sur la voie de la sagesse... Un meurtre, ça n'est pas une chose convenable.
Je suis de l'avis de Coralee, tu ferais une excellente Amaryllis. Bon jeu! Tu peux dès à présent faire ton dossier confidentiel, envoyer des MP pour des liens éventuels, et bien sûr nous rejoindre en Irlande!
Validée