Nathaniel Walton (Loaded)

Identité :


Prénom(s) et nom : Nathaniel Andrew Walton. Nathaniel, pas Nate, Nathan, Nathie, où toutes ces abréviations merdiques détournées de son prénom : il ne les supporte pas. Compte tenu du fait que Nathanaël est son véritable patronyme, il considère d’ailleurs que la prononciation du nom à l’anglaise est déjà un surnom en soit.

Date de naissance, Age : 17 - 09 - 89 19 ans

Sexe : Masculin

Établissement : Pourquoi se trouve t-il à Cambridge ? Et pourquoi pas? C’est l’une des deux meilleures facs d’Angleterre, Oxford étant la première. Compte tenu de la géographie, elle se situe à une distance à peu près égale du domicile de Nathaniel, situé dans un petit village plutôt coquet au pays de Galles. Holyhead, vous devez sans doute connaître. Son port, sa campagne gracieuse, son pensionnat… Dans lequel Nathaniel n’a d’ailleurs jamais été scolarisé. Bouchez vous les oreilles : il était chez les King.

Et sinon, vous, ça va?

Physique : Nathaniel inspire à qui le voit pour la première fois l’image de la fragilité. Sans doute à cause du rapport taille/poids : il paraît beaucoup trop mince pour un grand corps. Trop mince, trop pâle, et ce, en tous temps. Il fait partie de ce genre de personnes pour lesquelles avoir un bronzage fait partie des choses impossibles, sa peau virant beaucoup plus facilement au rouge écrevisse qu’au brun doré… Il faut dire aussi qu’il n’est pas particulièrement amateur de soleil, non, et ce dernier le lui rend bien. Il ne cherche de toutes manières pas à se complaire dans les valeurs esthétiques, ayant compris bien tôt que ses traits fins, ses lèvres vermeilles qui paraissent être dessinées au pastel, et ses joues délicatement rosées sont, certes admirées par le sexe opposé (en particulier par sa mère, laquelle ne se prive jamais de vanter les mérites de ses rejetons), mais donnent aux autres une image d’un lui qu’il s’estime ne pas être. Compliqué, le garçon, hein? Il se refuse donc à jouer de son physique, et ne paraît d’ailleurs même pas en être conscient. Ses habitudes vestimentaires sont à son image. Rien de très élaboré, il se vêt de la manière la plus ordinaire du monde. Pas de couleur de prédilection, ses cheveux sont la plupart du temps, assez bien coiffés. On peut néanmoins souvent repérer quelques petites excentricités… Un couvre chef, la plupart du temps, une cravate, il affectionne aussi particulièrement avoir les manches retroussées, ce qui traduit sans doute un besoin de ne pas se sentir trop à l’étroit?

Caractère : Nathaniel est un garçon plutôt solitaire. Ou plutôt non, il aime beaucoup être entouré, mais uniquement par des personnes qu’il apprécie. Hélas pour le jeune homme, la chose se raréfie puisque avec l’entrée à Cambridge, la chance pour qu’il se retrouve avec les mêmes options que ses amis d’autrefois est très limitée. Ça n’empêche pas le jeune homme de ne faire aucun effort pour se lier de nouvelles amitiés : avec lui, c’est à la vie à la mort, mais les rares qu’il considère comme tels ne l’ont pas été du premier coup. Oh, n’allez pas penser qu’il refuse d’adresser la parole à ceux qu’il ne connaît pas : il n’a pas quatre ans, non plus. Mais disons que dans ces cas là, son attitude paraît tellement indifférente, qu’on a l’impression de l’ennuyer. Ce qui est d’ailleurs souvent le cas… Pourquoi agit-il ainsi, sans doute parce que petit, il a souffert de cette espèce de discrimination que pratiquent les enfants, mettant naturellement à part tous ceux qui sont « différents » et qu’il en a beaucoup souffert, d’autant plus que les adultes n’étaient pas les derniers à se mettre de la partie. Rassurez vous, la plupart du temps, lorsque son regard noisette se pose enfin sur votre personne, et que ses lèvres se fendent d’un sourire, alors vous pouvez (presque), vous considérer comme un de ses « potes ». Whoah, le privilège, vous ne trouvez pas?
Malgré le nombre de bouquins qu’on le voit digérer par semaine , lorsqu‘il ne fait pas bondir son yo-yo de ci, voire même, de là, (à défaut de se créer des liens, il faut bien qu’il s’occupe), Nathaniel a une écriture plutôt bancale, qui pourrait même être comparée à celle d’un gamin d’une dizaine d’années. Peut-être parce qu’il est gaucher, me direz vous, mais aussi et surtout parce qu’il souffre depuis toujours de dysorthographie liée à sa dyslexie, raison donc, vous l’aurez compris de ses complexes de jeunesse. Ah, oui, c’est vrai, vous ne saviez pas au qu’il était dyslexique : mais après tout, quelle importance? Si autrefois il en a souffert, ça n’est plus le cas maintenant. Non, Nathaniel n’est pas un petit martyr, bien au contraire, il aurait pu faire partie des personnes les plus populaires de son bahut si il s’en était donné la peine, seulement, il prend que très rarement la peine de faire des efforts au niveau relationnel, il se contente d’agir comme il l’entend. Oh, bien sûr, il peut-être très têtu, mais seulement lorsque sa petite fierté est heurtée… Chose qu’il ne laisse plus arriver. Disons au final que son trait majeur est sa spontanéité. Il n’aime pas trop se prendre la tête mille ans sur ses futurs actes et décisions, et du moment que ça l’occupe, il fonce. Son pire ennemi, c’est l’ennui et la routine.



Questions subsidiaires :


Comment avez-vous découvert ce forum. Le darkside
Votre âge.19
Comment trouvez vous le design. Top
Combien de jours par semaine pensez-vous être là. 4/7 en moyenne
Célébrité sur votre avatar : Jean- Marc Case
Merci de préciser si votre personnage choisi est un prédéfini ou non En quelque sorte

Spoiler:

Intéressant… Et le passé dans tout ça?


Origine / Nationalité : Franco-anglaise

Histoire Nathaniel vit le jour dans un petit village situé dans des montagnes françaises dont il n’a pas pris la peine de retenir le nom. Son arrivée, ce matin-là, n’était absolument pas prévue une heure plus tôt, et c’est alors que ses parents, comme ils se plaisent à le raconter encore aujourd’hui au grand dam du jeune homme, commandaient des gin fizz dans un charmant petit salon de thé, que sa mère perdit les eaux. Une heure plus tard, donc, il était né dans ce pays dans lequel il ne remettrait jamais plus les pieds. Jusqu’à l’age de cinq ans, son entourage, encouragé par l’avis des médecins, était persuadé que le petit garçon était atteint de troubles proches de l’autisme. Tous, à l’exception de son grand-père, autrefois chercheur en médecine,qui n’était pourtant écouté de personne compte tenu de sa réputation d’alcoolique. Pourtant, avec lui, Nathaniel parlait. Pas beaucoup, certes, mais le petit garçon s’exprimait, puisqu’il n’avait pas d’autre choix, le vieil homme têtu refusant d’obéir à ses muettes demandes comme le faisaient les membres du reste de la famille. Toujours est-il que le grand-père avait raison : Nathan, pardon, Nathaniel n’était pas muet où autiste, mais souffrait de dyslexie expliquant entre autres, certains problèmes, notamment le retard qu’il avait par apport aux autres enfants. Il n’était pas doué pour les gribouillages et les maisons bleues, mais n’était pas pour autant un imbécile, affectionnant déjà particulièrement les appareils électroniques : a trois ans, il démontait ses petites voitures, à cinq, il avait détruit l’ordinateur junior de sa sœur (laquelle ne l’avait jamais totalement pardonné), et lorsqu’on lui avait offert, à dix ans, un kit contenant toutes sortes de tournevis, la maison s’était retrouvée sens dessus dessous, n’ayant plus un seul appareil électronique de viable. Soit, il aimait les circuits imprimés, mais ses résultats scolaires n’en étaient pas pour autant brillant, et l’on pouvait même dire qu’à douze ans, le petit garçon était considéré comme en échec scolaire. Son père, psychologue dans le pensionnat de Holyhead, préconisait une attention particulière sur sa personne, et sa mère paraissait le considérer comme un objet précieux et extrêmement fragile, le traitant sans cesse comme si il avait cinq ans. Les disputes éclatèrent dans la maison le jour où la candidature de Nathaniel ne fut pas acceptée dans le pensionnat de Harper, dans lequel était scolarisée sa sœur aînée : son père prit cela comme un échec personnel, et Nathaniel sentait véritablement sur ses épaules peser le poids de son incompétence inexpliquée. Sa sœur Alice, souvent agacée par l’attention que prenait le jeune homme depuis sa naissance, lui donnait néanmoins plus d’attention que leurs parents, beaucoup trop occupés à s’envoyer la balle de sa mauvaise scolarité, et le petit fuyait cette ambiance qu’il aurait pu volontiers qualifier de malsaine, pour aller se réfugier dans la petite maisonnette au fond de leur propriété, laquelle appartenait à son aïeul, qui lui racontait tout ce qu’il voulait entendre, du moment que le petit avait de quoi payer.
Parlons en, d’ailleurs, de leur monnaie d’échange : souffrant d’une certaine maladie du foie, On avait interdit à Fitzgerald Walton alcool et nicotine, et, Holyhead étant un petit village, il était étroitement surveillé par sa famille et ses voisins. Soit, mais lorsqu’il avait compris que Nathaniel était beaucoup plus malin que tout le monde paraissait le penser, il s’était mis à l’envoyer faire certaines commission à sa place, et… Il n’était pas rare de voir le petit garçon se balader en revenant de l’école, avec un sac à dos contenant deux ou trois bouteilles qu’il avait été chercher chez un des vieux amis de son grand-père.
Et lorsqu’il avait servit au vieil homme un verre de son scotch préféré, il avait ensuite le droit à des histoires qui le tenaient en haleine pendant des heures. Il apprit ainsi que son arrière grand-père était un ancien prix Nobel de Cambridge, et accessoirement la fierté de la famille (l'amphithéatre d‘un de ses collèges, le trinité, était à son nom). Il lui ressemblait beaucoup, et si ses parents se disputaient, c’était parce que tous les hommes de la famille Walton avaient eus un carrière des plus brillantes, y compris son grand-père le paria de la famille, et qu’ils craignaient que lui, Nathaniel, ne parvienne jamais à faire quoi que ce soit de sa petite vie.
Inutile de dire à quel point il fut blessé : pour ses parents, le jeune homme n’était qu’un attardé incompétent, et ils ne prenaient même pas la peine de le lui dire en face… La froideur qu’il leur montra en revenant chez lui ce jour là ne le quitta pas pendant les mois à venir, si bien qu’il fut interdit de visite chez son grand-père (ce qui ne l’empêcha d’ailleurs pas d’aller le voir). Il montra un coté de son caractère qu’il n’avait jusque alors jamais exploité : à l’école, il avait toujours été considéré comme un élève sous doué qui devait rester plus longtemps après les cours, et se faire répéter plusieurs fois les leçons dictées par les professeurs. Sa popularité n’était pas très élevée, mais après quelques bagarres, les autres élèves avaient cessés de lui tourner autour, voire même faisaient comme si il n’existait pas. La dernière année du collège fut pour lui l’occasion d’augmenter ses notes. Il n’était pas génial, certes, mais parvenait à la moyenne. Plus taciturne que jamais, il maigrit beaucoup, et passait tout son temps libre dans sa chambre à étudier… Effrayant n’est-ce pas?
Puis, ce fut le lycée. Nathaniel entra dans l’école publique King Henry IV, et rencontra de nouvelles personnes qui ne le connaissaient pas comme la tare de la classe. Malgré tout, il ne paraissait pas s’en formaliser : on le trouvait snob, il intriguait où dérangeait, et surtout, il s’en fichait. Il ne parlait presque jamais, et se contentait d’étudier. Lors des sorties scolaires, et même lors des sorties en famille, il était sans cesse le garçon inexpressif qui restait dans son coin : ses camarades ne l’intéressaient pas, et ses parents qu’il méprisait, ne parvenaient pas à attirer son attention. En clair, il n’était qu’une ombre se contentant d’exister.

Durant son année de première, il fit la connaissance, lors d’une sortie scolaire regroupant le pensionnat de Harper, et son propre lycée, de deux personnes du bahut rival. Étrangement, alors que leurs deux lycées étaient en guerre, ils accrochèrent immédiatement et passèrent le reste de la journée dans leur coin à discuter avec animation, ne trahissant pas le fait que son père était le fameux psychologue qui agaçait tant les élèves du pensionnat privé. Étrangement, lorsqu’il rentra chez lui ce soir là, il était d’humeur plus joyeuse qu’il ne l’avait été depuis longtemps, et même si son indifférence générale pour le reste du monde fut toujours un trait clair de son caractère, il s’était enfin sentit intégré quelque part.

Bon après, la suite n’a aucune importance. Sans doute était-ce parce qu’il avait découvert que certaines personnes valaient la peine d’être connues, où peut-être parce qu’il passait beaucoup trop de temps avec ses nouveaux potes, mais toujours est-il que son année de terminale fut celle de toutes les expériences.

Situation familiale Jusqu’à son arrivée à Cambridge, Nathaniel avait toujours vécu chez ses parents, lesquels s’entendent relativement bien pour un couple marié depuis une vingtaine d’années. Enfin, c’est-ce qu’ils veulent faire croire à leurs deux enfants, Alice et Nathaniel, lesquels sont loin d’être dupes, d’autant plus que Davon et Candace Walton n’ont pas la dispute silencieuse : leurs cris raisonnent dans la demeure familiale depuis tellement longtemps que leur progéniture en est venu à souhaiter qu’ils se séparent définitivement… Le jeune homme est depuis deux où trois ans relativement distant avec ses parents. En grandissant, il a en effet perdu la complicité qui le liait à son père, et leurs relations sont devenues plutôt conflictuelles, d‘autant plus que ce dernier en tant que psychologue. Avec sa génitrice, c’est à peu près pareil : son coté mère poule l’agace profondément, mais il montre un peu plus de patience, même si cette dernière a tendance à toujours le considérer comme le gamin qu’il était il y a une dizaine d’années. Il s’entend par contre assez bien avec sa grande sœur, laquelle est scolarisée à Harvard, mais celui avec lequel il adore particulièrement passer du temps est son grand-père paternel. Fitzgerald Walton ancien professeur d’université qui a une prédilection pour l’alcool, les cigares, et, selon ses termes, les belles femmes, est le meilleur ami de Nathaniel, malgré le fait qu’il n’ait pas spécialement les bonnes grâces de la famille. Lui non plus, aurait-on pu ajouter.

Rêves et ambitions pour l’avenir: Nathaniel aimerait devenir chercheur en physique
Quelle est la confrérie dans laquelle vous vous voyez le mieux, pourquoi? : Chez les Xanda, sans doute, car là étaient son père, son grand-père et son arrière grand-père.
Quelles sont les valeurs que vous défendez et les choses que vous respectez? : Les valeurs de Nathaniel sont très simples : il ne fait pas partie de ces personnes qui s’attachent à des choses telles que les biens matériels, où les discussions de couloir. Il se fiche totalement des rumeurs, et de toutes les choses qu’il considère comme futiles. En clair, sex, drugs & rock’n’roll, il n’est pas du genre à réfléchir avant d’agir. Pas du tout, même.
Êtes vous pour où contre Duty? : Ben Duty, il était pas dans son bahut, alors il s’en fout un peu, voire même carrément. Désolé, mec.
Qu'étudiez vous à Trinité? (deux matières une majeure et une mineure) Physique, Mécanique et mathématiques.
Trois secrets inavouable concernant votre personnage (c'est grâce à cela que Duty va le faire chanter pour qu'il réalise les missions) :

- Il est dyslexique et à un QI de 140
- Est le petit fils d’un prix Nobel. C’est grâce à Nathaniel que le point de ralliement des Submarines à été découvert.
- A fait exploser une bombe liquide dans la cour de son lycée en terminale et a fait accuser un certain Thomas Daïlegué, le caïd du lycée King Henry IV

Parfait, mec! Validé.
N'oublies pas d'envoyer des mp pour les liens, et de remplir la partie dossier confidentiel.