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 Maira Burton _ Just Me |End|

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Lolita I. V. Pallbearer

Lolita I. V. Pallbearer


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MessageSujet: Maira Burton _ Just Me |End|   Maira Burton _ Just Me |End| EmptyDim 28 Déc - 19:54




      MAIRA « Non au capitalisme, chers amis. Non au capitalisme ! Beaucoup d’entre vous pensent certainement que c’est une sorte de « nouvelle religion », de « secte ». Mais il n’en est rien. Ce n’est pas parce que, pauvres ignares que vous êtes, vous vous enrichissez sur le dos des pauvres et que vous développez économiquement votre pays que vous ferez avancer le monde ! Vous ne faites que de le massacrer, à petit feu. Même les insectes les plus répugnants sont meilleurs que vous, protégeant l’écosystème. Mais étant plus petits que vous, les répercutions sont moindres. Car qui se soucierait de la mort des abeilles. Qui ? Et bien nous, mes amis. Car sans elles, le pollen ne se transmet pas aussi bien & la survie de la nature s’en trouve réduite. A bas les pesticides. A bas les superproductions de super dégoûtants aliments. Préférez le bio ! »

    C’était avec un haut parleur à la main que la jeune femme de vingt ans criait son message à travers les rues de sa ville. Sa voix, ferme et légèrement grave pour une femme, retentissait sur les murs, ne présentant heureusement aucun écho, chose qui aurait pu la déranger. Elle agitait les mains, convainquant les autres de faire de même, s’époumonait, replaçait quelques mèches de cheveux châtains derrière son oreille et recommençait. Son beau discours militant, bien évidemment, mais aussi ses petits gestes, devenus une réelle habitude durant les manifestations. Et pour une fois, elle était la véritable meneuse, son cher et tendre mais surtout imbécile de condisciple étant atteint d’une flemmagiste aigue, vous savez, cette maladie qui vous pousse à ne rien faire de la journée. Les étudiants qu’elle avait réussi à embarquer –les disciples et ceux qui ne voulaient pas aller en cours- la suivait alors elle, la Reine du moment. Mais bientôt, la foule qui suivait fut bientôt rejointe par des opportuns dont le seul et unique but était de semer le désordre et la confusion en cassant le maximum de chose sur leur passage. Alors là, évidemment, le reste n’allait pas être tout rose. D’ailleurs, la foule jadis compacte se dissocia, certains s’enfuirent, hurlant et se débattant contre les policiers déjà en place dans un capharnaüm incroyable. Ca hurlait de partout, ça vous déchirait les tympans, et ça grouillant dans tous les sens à l’image d’une colonie de cafards. Tandis que Maira répliquait par une voix de plus en plus forte, les casseurs se protégeaient à coup de cailloux et de poings. Sans doute, c’était ce qu’elle aurait dû faire. Mais ceci lui faisait tellement penser au comportement « pseudo-rebelle » du co-chef Jamie que cette idée partit aussi vite qu’elle était arrivée. Elle continua alors son chemin, braillant dans le microphone, déambulant les pieds nus.
      UN POLICIER « On l’embarque »

    Ceci, l’étudiante aurait pu le prévoir. Mais voyez-vous, c’est quelqu’un qui n’aime pas abandonner. Et encore moi une manifestation, passe-temps favori, surtout lorsqu’elle en prépare une à l’avance et qu’elle daigne l’annoncer à la préfecture, endroit qui était d’ailleurs le point de rendez-vous du jour. Celle-ci se trouvait d’ailleurs à quelques mètres, dans l’avenue de gauche. Il aurait été vraiment rageant d’arrêter si près du but. Maira riposta alors à l’attaque de l’Homme, ne voulant pas se faire arrêter sans riposter. Elle le fit alors à coup de crie aigu dans les oreilles, le tout magnifiquement décibélisé –si ce mot existait- par son magnifique objet de torture. & de délivrance. Le gars qui lui avait attrapé le poignet gauche la lâcha rapidement, poussant un juron au passage, tandis que la belle courait, le porte-voix toujours à la bouche.

      MAIRA « Ne vous dissociez pas, chers amis. Le gouvernement veut tester notre loyauté et nos bonnes et magnifiques idées. Restons soudés. Soudés ! Alors courez ! Nous devons mener à bien la mission que m’a confiée la nature. Nous devons montrer aux pauvres humains, aveuglés par le capitalisme, que le bio est la vie de demain. Notre future source de vie. Courez, du plus vite que vous pouvez, jusqu’au point de rendez-vous ! »

    La jeune femme avançait tant bien que mal parmi la foule. Son raton laveur, qu’elle portait sur le dos faute de pouvoir la suivre à terre, manquait souvent de tomber, bousculé par les gens alentours. Mais l’animal, nommé Noix-de-Coco pour des raisons obscures, tenait bon n’hésitant pas à insérer ses griffes dans les vêtements bariolés de Maira. Celle-ci ne le remarquait pas plus que cela, trop occuper à crier, à courir et à attraper quelques personnes au passage, leur rappelant que la préfecture était « là-bas » et non « ailleurs ». Mais il n’y avait rien à faire, tous paniqués qu’ils étaient par les tires de pierres et le coup de matraque.

      MAIRA « Soudés, vous dis-je. Restons soudés contre l’adversité. Contre le gouvernement. Par de tels attentats contre des représentants de la Nature, il nous mène à notre perte. Suivant aveuglément les règles du capitalisme, il contraint les supermarchés de mettre de lourdes taxes sur nos fruits & légumes, nourriture qui est importée et exportée par des avions. Et savez-vous ce que font ces monstres ambulants, monstres des airs ? Ils contribuent à augmenter l’effet de serre et le grandissement du trou présent dans la couche d’ozone. Réagissez ! N’en achetez plus. Préférez le bio et les légumes plantés dans votre jardin ou sur votre balcon. Soyez Peace and Argghh »
      LE POLICIER DE TANTOT « Aventure terminée ma petite. Game Over. Rentrer tous chez vous, manifestants de mes deux, si vous ne voulez pas faire un tour au commissariat »

    Cette dernière phrase, c’était le policier dont Maira avait réussi à semer à coup de microphone qui venait de la prononcer. Car s’époumoner, courir et résister au stress infini de Noix-de-Coco n’était pas chose facile. Mais à présent, la manifestation était belle et bien déterminée. Déception.

      UN POLICIER « Votre identité. »
      MAIRA « Maira Sixtine Anna Burton. Vous voulez que je vous épelle Burton ? Soit. B.U.R.T.O.N. Et ne me dites pas que vous ne savez pas comment cela s’écrit. Sinon, c’est que vous ne sortez pas assez souvent, Mister. Car il en existe un de très connu, Tim Burton. Alors, si vous ne connaissez ni Sweeney Todd ni Big Fish alors, vous n’êtes pas dans votre temps.

    A vrai dire, la jeune femme aurait pu continuer si ce n’était le regard insistant mais aussi perçant de son hôte. Maira avait l’impression d’avoir dit quelque chose qui ne fallait pas. Mais pourtant, elle n’avait fait que comme d’habitude : parler, enjoliver, rajouter. Et aujourd’hui, cela n’avait pas l’air de plaire. Personne ne lui disait jamais rien –ou alors, elle faisait tout pour ne pas entendre- alors elle en déduisit que c’était le jeune homme qui devait avoir un sérieux problème.

      UN POLICIER « Date de Naissance »
      MAIRA « Hey, vous pourriez être un peu plus bavard. Plus avenant ou même plus polie. J’ai soif »

    Plus qu’une remarque cette fois-ci, la dernière phrase sonnait comme un ordre. C’était alors à l’étudiante de fixer son partenaire. Elle n’avait jamais qu’on ne lui réponde pas. Un vent, une réplique salace ou même vipérine valaient cent fois mieux qu’une non-réponse, que l’ignorance dont arrivait à faire preuve le policier, enflé par les litres de café ingéré. Elle pinça les lèvres, véritable tic, plongea ses yeux vert-marron dans les yeux cernés de l’autre & attendit. Quoi ? Ca, elle n’en savait rien. Mai certainement une parole, un geste, un mot qui pourrait lui montrer que, pour une fois, elle se trompait sur le sujet de quelqu’un. Bien sûr, elle savait que son comportement dans le commissariat n’était pas des meilleurs mais, voyez-vous, en plus de sentir la personnalité des gens, la jeune femme était quelqu’un d’extrêmement fier : elle n’aimait surtout pas qu’on lui marche sur les pieds. Le policier réitéra sa question. Ce n’était pas ce qu’elle voulait. Soit. Mais c’était une réponse qui en méritait une autre. Le disque de Maira, resté bloqué sur « j’ai soif », refit sa demande. Le policier répéta sa demande et les deux jeunes gens étaient partis dans une situation des plus affligeantes où le gagnant serait le plus fier. Car elle n’était pas prête à lâcher. Le calme de l’interrogatoire, qui avait à peine débuté, se transforma en un véritable champ de bataille où le meilleur –et non le gagnant, pour changer- serait également celui qui crierait le plus fort. Inutile de vous dire qu’avec toutes les manifestations qu’avait organisées l’étudiante, elle était assez forte dans ce domaine. Le plus distrayant dans cette histoire était d’observer le visage du jeune homme. Il paraissait identique à un automate, blême, son expression changeant à peine. Et pour contraste, en face de lui, vous avez Burton, sauvage, qui affichait un sourire au coin de ses lèvres. Sans l’intervention du commissaire en chef, ce petit & étrange sourire se serait sûrement transformé en un véritable déluge de sons plus ou moins aigues, témoignage de la félicité de Maira devant le comique du Bonhomme.

      LE COMMISSAIRE « Que faites vous, O’ Doherty ? N’avez-vous pas honte d’hurler ainsi ? On a des choses beaucoup plus importantes à côté, alors, quiet. Vous désirez quelque chose, Mademoiselle ? »
      MAIRA « Burton, vous savez, comme le réalisateur. Je voudrai bien du thé au citron, s’il-vous-plaît »
      LE COMMISSAIRE « Nous n’avons pas de cela, désolé. Autre chose peut être ? »
      MAIRA « Vodka Tonic alors. L’idéal serait de me le servir dans un verre Tumbler. Après, un simple verre me convient. Du moment qu’il contient mes 6 cL de Vodka et le reste de tonic. »
      LE COMMISSAIRE « O’ Doherty, je prends le relais. Ramenez à Miss Burton un thé au citron. Débouillez-vous pour en trouver »

    C’était déçue que la jeune femme écouta la réponse du commissaire, un jeune homme –du moins plus jeune que l’autre- âgé sûrement d’une trentaine d’année. Tout au plus. Exactement le genre de sa mère. Bien sûr, cela l’aurait étonné si une quelconque goutte d’alcool soit présente au bureau. Imaginez un peu le scandale : « les représentants de la loi n’appliquent plus ou, s’ils les appliquent, c’est sous l’emprise de l’alcool ». Enfin ça, c’était un truc digne des journalistes à problèmes – à scoop qu’on les appelle, plus bienséant -. Toujours à chercher le truc qui ne cloche pas dans un ensemble absolument parfait, prêt à être présenté aux divinités. Ou presque. Maira n’aimait pas les journalistes, loin de là. Ils lui faisaient toutes sortes de portraits plus alambiqués les uns que les autres alors que c’était Absolument Faux. Mais malgré cela, elle ne pouvait nier qu’elle avait besoin de leur aide lors des manifs’. Faut bien qu’elles soient reconnues et quoi de mieux que des journalistes débutants pour faire circuler l’information, trop tentés de raconter des absurdités afin de se faire de la place dans le show-bizness. Aucun rapport ? Cherchez-bien. Car il est de notoriété public –casi public- que l’étudiante aime bien changer de sujet comme bon lui chante. Alors, bien sûr, on perd le début. On perd de la substance et on recommence. Au même endroit et avec les mêmes personnes.
    L’alcool. Tel était le débat intérieur dans lequel s’était lancée la blonde. Mais les choses ayant été souvent trop vite à ce sujet –faites le Sam si vous prenez le volant- que ce n’était même plus la peine d’en parler. Quoique, il fallait rappeler que l’alcool –à consommer avec modération- était strictement interdit sur le lieux du travail. Des barrières rouges, énormes & clignotantes sur lesquelles étaient inscrit : « forbidden », s’installèrent dans l’esprit de Maira. Elle secoua la tête, espérant que cela les ferait partir. Car le cas des étudiants était tout à fait différent. Car le travail qu’ils effectuent est du travail scolaire, non rémunéré fonctionnant beaucoup plus à l’aide d’un stimulant. Pour certains, il s’agit de la drogue. D’autres, c’était les filles. Les garçons. La luxure. Le chocolat. Mais pour la petite, c’était un coup de vodka a cinq heures de l’après-midi, heure à laquelle les anglais sont sensés boire leur thé.

      LE COMMISSAIRE « Bien, reprenons. Excusez O’ Doherty. Quels sont vos lieux et date de naissance, Miss Burton »
      MAIRA « Ah, Merci d’être un petit peu plus causant. Cela fait plaisir vous savez. Bref, je suis née un 17 mai. En 1988 aux Etats-Unis d’Amérique. Vous voyez l’Illinois et sa capitale ? Et bien, c’est dans cette même ville »
      LE COMMISSAIRE « Puis-je à présent avoir votre situation familiale »
      MAIRA « Je pense que célibataire n’est pas la bonne réponse à votre question. Donc, pour votre questionnaire, j’ai un frère. Erwan Allister qu’il s’appelle. Ma mère, elle, se nomme Laura Emilie De Genièvrecourt. C’était et c’est toujours une française, bien maniérée mais folle à ses heures. Géniale. Imaginez qu’elle a rencontré mon père, Ludwig –c’est lui l’américain- à Woodstock, quand les premières heures étaient encore payantes. Avec le monde présent, c’est vraiment un miracle qu’ils se soient rencontrés, et qu’ils se soient plus. Car qui imaginerait qu’un Hippie puisse se rapprocher d’une bourge, hein ?


Dernière édition par Maira Burton le Mer 31 Déc - 16:05, édité 10 fois
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Lolita I. V. Pallbearer

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MessageSujet: Re: Maira Burton _ Just Me |End|   Maira Burton _ Just Me |End| EmptyMer 31 Déc - 18:42

    Vieille question rhétorique à la con. Maira savait parfaitement que la drogue avait des effets étranges. Et si c’était pour célébrer sa naissance, quelques années plus tard, alors cela avait du bon.. Mais s’il y avait une seconde chose que Maira savait encore, c’était que cela la dérangeait de parler de sa mère, ainsi, ouvertement. Car voyez-vous, c’étaient ses parents qui l’avaient forcé à venir ici, en Angleterre et à étudier à Trinité. Son père avait fait le voyage avec elle mais, Laura, trop occupée dans l’Illinois, était restée aux Etats-Unis. Alors, la petite américaine, pour se faire plus facilement intégrer dans son nouveau lui de vie et pour avoir la compassion de ses camarades, avait décrété haut & fort qu’elle était morte. Ceci était son secret, son premier secret et malheur à elle s’il était découvert. Avec cette phrase, Maira se remémorait une scène dans l’Age de Glace où les dodos, devenus fous pour une question de pastèque, sautait dans le vide. Ouais, malheur à eux, c’était clair.

      LE COMMISSAIRE « Très bien. Vous auriez pu parler moins, je n’aurais pas eu à faire cet effort de syntaxe et de résumé. Enfin, puis-je savoir pourquoi mon compagnon vous a arrêtez ? »
      MAIRA« Mais comment voulez-vous que je le sache ? Je suis en train de manifester, bonne chef de clan que je suis & v’la que des crétins se ramènent. J’dois faire quoi ? Abandonner ? Hors de question ! Alors, je continue, mon micro à la main, noix-de-Coco sur l’épaule. C’est mon raton laveur. Votre collègue l’a enfermé dans une cage. Mais vous vous rendez compte ? Il prive un animal de la liberté. De sa liberté. Saleté d’opprimeur Va ! »
      [ size=9]LE COMMISSAIRE[/size] « Bien. Plus rien à ajouter. Je pense que vous pouvez partir. & encore désolé pour le contre-temps. Vous savez, O’ Doherty n’est pas dans son assiette ces derniers-temps. Il a perdu sa femme. »

    Maira, à l’entente des excuses, avait failli lâcher un : « mais je m’en contre-fiche de lui ! ». Elle sortit alors de la pièce, sous l’œil amusé du commissaire qui la regardait déambuler pieds nus et sous l’œil amusé de Doherty. Elle récupéra son raton laveur, lui tira les moustaches comme on tire les joues à un bambin de 3 mois. Sur le palier de la porte, elle se retourna vers la foule et, dans un brusque moment de folie, elle fit une sorte de révérence avant de lâcher : « Ce n’est plus, Ans God save The Queen But God Kill The Queen Mother. A plus les gars ! ». Ceci, c’était presque un toc de la jeune femme, toujours prête à sortir des phrases qui n’avaient pas de sens. Enfin, pas de sens pour les autres car elle, elle comprenait bien ce qu’elle racontait. C’était pour cela qu’elle aimait embrouiller les gens avec les paroles. Mais aussi les sauver –dans les manifestations- ou les démonter à petit feu en utilisant des citations plus tordues les unes que les autres. Enfin, elle sortit de son lieu d’emprisonnement et son regard se posa sur une vielle bonne femme, équipée d’un manteau en fourrure. Elle qui était déjà végétalienne, elle ne comprenait pas comment des personnes pouvaient porter sur elles les décombres morbides d’animaux. Le sujet de la prochaine manifestation se présenta immédiatement à elle. Luttons contre la mort des animaux. Sauvons les ratons laveurs ! Mais là, pour l’heure, elle devait aller revoir son cours de biologie animale et lire un morceau des Confessions de Voltaire. Le travail n’attend pas. Tout est à recommencer.



    Quelle est la confrérie dans laquelle vous vous voyez le mieux, pourquoi? : Celle où je suis la co-chef.
    Quelles sont les valeurs que vous défendez et les choses que vous respectez? : la nature, les animaux et moi.
    Êtes vous pour où contre Duty? : A voir avec le temps. Mais elle avoue que son caractère l'a fait bien rire. Du moment que ça ne tombe pas sur elle.
    Qu'étudiez vous à Trinité? Littérature française & Biologie Marine.
    Trois secrets inavouable concernant votre personnage :
    » Elle a menti aux autres en affirmant que sa mère était morte. Juste pour accroître sa "popularité".
    » Elle n'hésite pas à charmer n'importe qui pour se sortir d'affaire.
    » Elle a un problème mental qui lui fait souvent sortir des choses sans queue ni tête.

    Comment avez-vous découvert ce forum : I don't remember.
    Votre âge : 18
    Comment trouvez vous le design : Il m'éclate.
    Combien de jours par semaine pensez-vous être là : Suivant les cours.
    Célébrité sur votre avatar : Notre Chère Keira
    Merci de préciser si votre personnage choisi est un prédéfini. En effet.


& le code est caché dans le texte xD.
Dites moi par Mp si des choses sont à modifier ou à enjoliver.

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Apolline Finnigan
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MessageSujet: Re: Maira Burton _ Just Me |End|   Maira Burton _ Just Me |End| EmptyMer 31 Déc - 19:23

Bienvenue à toi Maira et à ton cher Noix-De-Coco top

Hey, jolie fiche, il y a bien quelques mots que tu oublies involontairement dans tes phrases mais tout est bon sinon.
Tu peux déjà commencer à rédiger ton Dossier Confidentiel et te créer -ou officialiser- des liens.
God saves you smoke
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MessageSujet: Re: Maira Burton _ Just Me |End|   Maira Burton _ Just Me |End| EmptyJeu 1 Jan - 15:15

Twisted Evil Et oui, comme l'a dit Coralee, bienvenue, et superbe fiche!
Il ne me reste plus qu'à te valider, et à t'attendre dans nos Olympiades.
Bon jeu, et bonne année!
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MessageSujet: Re: Maira Burton _ Just Me |End|   Maira Burton _ Just Me |End| Empty

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